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    [CdT37]Rougegarde D'Alik'r, Haydar Fils du désert

    Haydar
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    Message par Haydar Sam 7 Déc - 0:55

    Nom: ///
    Prénom: Haydar
    Race: Rougegarde
    Spécialité: Ambidextre

    Intérêts(*): L'argent, la gloire
    Caractère(*):

    Comme chaque Rougegarde, Haydar possède un caractère bien trempé et d'une assurance arrogante. Il est sûr de soit car il y peu de chose dans se monde en guerre qu'il ne sache faire. Cependant, cela ne l'empêche d'être modeste face à plus important que lui ou lorsqu'une situation lui échappant totalement se présente à lui. En résumé, il est certain de son faite, forte tête et facilement excessif. Il repoussera tout ce qui est en liens à la magie sauf si le mage en question ait prouvé sa valeur. Concernant les immondes abominations que sont les vampires, fils de Molag Bal, il occire avant de poser des questions. Pour les loups garous, il voit beaucoup d'homme innocent touché par se mal et être contraint de quitter femme et foyer pour leur propre bien là où les vampires vivent en bande, tuent en bande. Il fait donc preuve de compassion vis à vis des boules de poils à croc acéré.

    Apparence physique(*):

    Une peau que le soleil à façonné dès sa naissance. Cuivré, elle semble presque agir comme un camouflage dans ce désert rude. Son corps est athlétique. D'une taille respectable, un mètre soixante dix sept, l'homme possède une musculature avantageuse lui permettant souplesse, résistance et puissance. On pourrait aisément le décrire comme l'un de ces gladiateurs qui descendraient dans l’arène, un sport qui est ou qui sera très pratiqué en Tamriel. Son visage est encore jeune, aucune ride n'y étant présente si ce n'est celle de l'arrogance. Son âge est jeune, 22 ans, il est dans la force de l'âge et semble en profiter pleinement. Malgré tout, son corps est parsemé de quelque cicatrice, démontrant l'environnement hostile dans lequel il séjourne.

    Liens familiaux(*): Haydar a vécu son enfance avec sa famille, dans une caravane qui marchait le long des routes brûlantes d'Alik'r.


    Prélude



    L'an 792 de la première ère marqua un tournant décisif pour le monde de Tamriel. Cela ne e résumait pas à une simple catastrophe naturel, mais à un bouleversement total de la face du monde. Lorsque l'on y repense, beaucoup des guerres, des bains de sang et autre génocide qui parsemèrent l'histoire provinrent de ce cataclysme. Que ce serait-il passé si Yokuda n'avait pas sombré ? A quoi ressemblerait le monde aujourd'hui si les Rougegarde n'avaient pas foulé le sol de Lenclume ? Personne n'a de réponse à pareil question car le monde est comme il est aujourd'hui. Même les plus grands sages évitent de s'avancer sur l'avenir, cela est dotant plus vrai quand aux histoires parallèle. Mais une chose est certaine, Tamriel et les autres races durent et doivent toujours compter avec les Rougegarde.

    Je ne dirais pas que nous autres, Rougegarde, sommes la race dominante qui peuple Tamriel. Je dirais simplement que nous sommes les plus puissants, les plus droits et les plus héroïques. Il n'y a pas d'ennemie que nous ne craignions car nous les avons tous vaincus un jour. Nous autres Rougegarde avons sû faire face à l’effondrement de tout un continent. Nous avons sû prendre la mer et traverser les flots pour trouver terre. Nous avons su nous installer et repousser les faibles qui gardait bien au chaud ces terres pour nous. Aujourd'hui, tout Tamriel connaît les Rougegarde, tout Tamriel nous craint et nous respecte. Le sable coule dans nos veines et le désert est notre, Alik'r.

    Les Rougegarde ne sont pas une armée, mais une tempête de sable où chaque individu représente un grain de poussière. Nous ne sommes pas lié par un serment où une discipline, mais bien par l'amour de notre patrie. Jamais nous ne plierons genoux, jamais nous ne courberons l'échine. Nous sommes les Rougegarde, des explorateurs, des aventuriers, des Mercenaires. Et nous sommes fier de l'être.

    Lorsque ce nouveau Cataclysme c'est déclenché en l'an 578 de la seconde ère, les Rougegarde furent touchés par des tempêtent violente. Certain parlaient déjà d'une autre catastrophe comme Yokuda. Tout Tamriel était touché et ce qui s'en suivit n'était pas réjouissant... Les Rougegarde sentirent bien que le monde était en proie au Chaos. Que nous serions amenés à combattre quoi qu'il arrive ces créatures des ténèbres. L'heure était venu de prier Satakal et tous les autres dieux, de s'armer et de répondre au appel à la guerre. Les Rougegarde sont prêt, l'êtes vous aussi ?


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    [CdT37]Rougegarde D'Alik'r, Haydar Fils du désert Empty Re: [CdT37]Rougegarde D'Alik'r, Haydar Fils du désert

    Message par Haydar Ven 13 Déc - 23:13

    Chapitre 1 :

    Le désert d'Alik'r représente probablement le parfait exemple de ce qu'est la nature. A la fois rude et aimante, elle offre à ceux qui vivent en harmonie avec elle un lieu dans lequel vivre, certes dur, mais rapprochant nécessairement les hommes les uns des autres. Il était difficile d'imaginer que ce pays austère, dépourvu de tout avantage permettant le développement prospère d'une civilisation, puisse à présent accueillir le peuple Rougegarde, fier descendant de Yokuda et probablement peuple le plus évolué. Ce n'était pas pour rien que tant de guerres eurent lieu à l'arrivé de ce peuple fier. Qui aimerait voir débarquer du jour au lendemain des voisins technologiquement avancés sur vous ? Le courage d'un Rougegarde n'a d'égal que la justesse de sa lame atteignant son but. Leur armure sont aussi solide que le roc sur lesquels les épées viennent s'ébrécher. Non, rien n'aurait pu empêcher les Rougegarde de s'approprier Alik'r, encore moins des tributs indigène.

    C'est ainsi que la vie des Rougegarde se déroulaient. Du moins, celle des Aïeux. Comme dans toutes civilisation, on retrouve chez les Rougegarde les classes sociales. Les Couronnés sont les descendants des nobles de Yokuda alors appelé Na-Totambus . Ce sont eux qui gouvernent le peuple Rougegarde depuis des siècles. En comparaison, les Ra-Gadas étaient les pionniers de la colonisation de Yokuda. Ceux qui bravèrent le désert, qui repoussèrent les tributs locaux, qui s'allièrent aux Bréton pour vaincre les Orques. Alik'r est baigné du sang des Ra-Gadas. Ils forment la petite noblesse guerrière, la majorité si pourtant défavorisé.

    C'est parmi eux que je suis née. Je me prénomme Haydar. Comme tant d'autre je suis un Alik'r, un fils du désert. Pour moi, les grandes villes ne signifiaient que l’appât de l'or lorsque notre caravane s'y arrêtait pour troquer et vendre les marchandises récoltés lors de notre voyage ou pour le troc que nous faisions de ville en ville. Vous savez... Lorsque l'on ne connaît que le désert, on ne se rend pas compte à quel point il est rude. Cette difficulté nous semble naturel. On apprend alors à dompter le soleil en tissant notre tissu si réputé, à se repérer dans cette immensité rougeâtre grâce  à l'astre, à trouver les points d'eau et surtout, à lutter contre les prédateurs. Car nous avons beau être de grand guerrier, nous autres, les Rougegarde, seul face au désert, nous n'étions rien d'autre qu'un morceau de viande qu'un scorpion géant ou un fendeur des dunes ne tarderaient pas à dévorer.  

    Tout comme les Nordiques, c'est notre terre qui nous forge. On ne peut se permettre d'être faible, alors notre caractère s'aiguise, nos muscles se développent. Les tâches d'un enfant Alik'r sont assez simple. S'occuper des bêtes, chercher l'eau, les œufs et autres denrées rare que la nature met à notre disposition. Malheureusement, il arrive que des accident surviennent lors de ces tâches de la vie. Par instant, il arrive que nous ne soyons pas les seuls prédateurs à désirer les œufs. Tous ceux qui ont un jour étaient mordu ou piqué par un insecte géant savent la douleur que l'on ressent. C'est comme se faire pénétrer par un épieux, ce dernier se retirant alors pour vous laisser le temps de sentir le poison se répandre dans vos veines et vos artères. Il arrive que l'on meurt de ce dernier, à cela, je leur dis qu'ils ont bien eut de la chance... Moi j’ai vu ce que donnait un scorpion géant se repaître de chair humaine. Le poison d'un scorpion géant vous paralyse les muscles, ne vous tue pas... Mon ancien compare et moi en furent victime. L'un de nous deux devaient alors mourir, Satakal porta son dévolu sur mon ami. Je ne dois mon salut qu'à la lenteur de la bête et à ma tribut qui vinrent à ma rencontre, alarmaient de nos cries. C'est ainsi que j'eus côtoyé la mort pour la première fois.

    La mort de mon ami n'en est qu'une parmis tant d'autre. Je ne veux faire de lui un martyre. Sa mort était une volonté de Satakal ou une preuve de sa faiblesse. Bien sûr, je dis cela aujourd'hui, adule. Mais enfant, la pilule fut difficile à avaler. La vengeance avait prit place en mon cœur. Très peu de sentiments arrivent à bouleverser les habitudes d'une vie. L'amour, la haine, la peur, en font partit. Elles dictèrent ma vie, un temps.


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    Message par Haydar Mar 4 Fév - 18:40

    Par le passé, je n'étais qu'un simple Trail'r. L'enfant d'un guerrier Uetonga'r et de l'une de ses maîtresses d'un soir, une esclave à l'époque. Depuis, ma mère a mis au monde des enfants du désert, lui octroyant un peu plus de respect de la part de la Horde. Malgré tout, elle ne s'était jamais prédestiné à une position plus avantageuse. Elle était une ancienne esclave que sa fidélité avait récompensé. Elle s'était faite accepté par Hel Do Alik'r en lui offrant des enfants. Ma mère n'avait jamais pu dire non à un homme, elle n'avait réellement quitté sa condition d'esclave, forcé à ouvrir les cuisses au premier guerrier venu. Mais malgré tout cela, elle aimait ses enfants, elle s'était révélé être une bonne mère à défaut d'être aidé par le paternel.

    Finalement les années ont passé et cette femme a vu ses nombreux enfants grandir. Certain devenant de fin guerrier, d'autre ayant une constitution faible et n'ayant guère le choix que de servir la horde dans des tâches difficile et bien souvent ingrate. C'était dans la force des choses, les forts se tenant au dessus des faibles, se délestant des taches difficiles ou épuisante tout en récoltant la gloire des batailles.

    J'étais l’aîné, le premier d'une longue tribut que ma mère mit au monde. J'étais également le « fils de la honte » pour mon père. Ce dernier ayant enfanté ma mère lorsqu'elle se tenait encore comme esclave au sein de la horde. Par cette faute, ma jeunesse ainsi que mon adolescence n'en fut pas des plus rose. Considéré comme une personne inférieur et faible, j'étais concilié au tâche les plus ingrates comme vider les laiteries, nettoyer le purin ou autre tâche dans lesquels on se voit forcer de s'agenouiller dans la merde. Les tâches les plus dangereuses étaient également dans mon lot quotidien. Lorsque la Horde s'apprêtait à piller village et ferme, je faisais généralement partie des éclaireurs, ceux chargées de transmettre toutes information visible aux guerriers, mais aussi ceux qui meurent à coup sûr s'ils sont découvert. Bien entendu, il était hors de question ensuite de faire partie de l'assaut, la gloire et l'honneur ne devant revenir qu'à ceux ayant déjà fait leur preuve.

    C'est poussé par la frustration et les mauvais traitements que les Trail'r s’efforcent à s'élever dans la société de Hel Do Alik'r. Les femmes tentent de séduire les guerriers, alors que les hommes sont condamnés à devoir s'exercer dans leur faits d'armes s'ils veulent une chance de faire partie des Uetonga'r. C'est dans ces conditions que le soleil brûlant cuivra ma peau, que la sueur couvrit la peau de mes muscles sous les exercices divers que je m'imposais. Que les marques des coups que mon père m’assenaient marquèrent mes chairs. C'est la colère aux yeux que mes mains guidèrent mon arme. C'est la haine dans la peau que mes bras fendirent l'air. Et c'est cette même colère, cette même haine qui firent de moi ce que je suis.

    Même l'Ugakta'r a des obligations. Celui de garder le soutiens de la Horde. Il doit se plier à certaine exigence que Hel Do Alik'r réclame. Et même ce vieillard, cet homme qui fut jadis un immense guerrier mais qui n'est à présent plus que l'ombre de lui même, dû se plier à la volonté de la Connaissance en donnant leur chance aux Trail'r les plus prometteur. Le chef de la Horde n'était plus qu'un vieillard dont sa seule bataille à présent était celle de parvenir à se tenir droit face à son peuple. Sa position n'était pas pour autant en danger. Les Nogro étaient nombreux et plusieurs d'entre eux faisaient également partit des Uetonga'r. Sans parler des liens d'amitiés que le vieillard avait su tisser avec les plus puissants guerriers de la horde. Les liens d'amitié étant bien plus puissant que ceux du sang pour certain... Mon père faisait partit de ces amis fidèles qui, plutôt que de défier ce vieil homme, préférait le servir tel un esclave. A mes yeux, il faisait honte à la horde et à nos traditions.

    Ainsi, pour combler la horde, l'Ugakta'r ordonna à ce qu'on rassemble les jeunes Trail'r désireux de prouver leur valeur. Leur but fut simple : Attaquer et piller un village pour la gloire et la fortune de Hel Do Alik'r. C'est ainsi qu'armée d'un glaive ébréché et d'une torche, je m'étais présenté devant le chef. A ce moment là, le feu de la détermination brûlé dans mes yeux. Un feu que mon père aurait tout fait pour étouffer si il en aurait eut le droit.

    Chez Hel Do Alik'r, il n'y a pas de tactique militaire ou de formation. C'est une charge général qui balaye nos ennemies. Les Uetonga'r chevauchant leur monture avec aisance et fauchant de leur lame les têtes, alors que les Trail'r autorisé à se joindre au pillage n'ont d'autre choix que de charger à pied, fonçant droit sur les lignes ennemies.

    Ce jour là, seul une vingtaine de Trail'r se lancèrent à l'assaut d'une bourgade. Cette dernière n'abrita que des fermiers et leur famille. Des lames émoussés contre des fourches, voilà ce que fut cette mascarade. Il n'y eut aucun combat glorieux pour aucune richesse. Plusieurs de mes frères eurent perdu la vie ce jour là pour des broutilles, pour une trahison que l'Ugakta'r nous avait présenté comme une faveur.

    Je me souviens... Lorsque la fumée s'élevait des hameaux en flamme, que les Trail'r survivant de l'assaut prenaient leur dû. Les femmes se faisant violer, les coffres se faisant vider... Tous n'avaient alors qu'en tête de dépouiller le peu de fortune que se hameaux pouvait offrir. Des babioles en bois, voilà bien tout ce qu'ils récoltaient. Mes yeux, eux, n'avaient yeux que pour cet entrepôt qui flambait. Le bien le plus précieux de ces paysans se consumait dans les flammes, leurs récoltes. Mais la Horde n'avait que faire de navet et de carotte. Le commerce leur fournissait déjà toutes les rations nécessaire... Une main s'était alors posé sur mon épaule, celle de ma mère.

    « Tu as enfin compris que jamais on ne t'offrira d'honneur. »

    Mon regard c'était alors posé sur le peu d'esclave que Hel Do Alik'r allez accueillir en son sein... Et mes lèvres bougèrent d'elle même.

    « Alors je m'en saisirais moi même. »

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    Message par Haydar Mer 5 Fév - 18:44

    Chapitre 2 :

    Il n'y a rien de plus âcre que le goût de l'amertume. Avez vous déjà désirez une chose au point de vous y perdre corps et âme pour qu'une fois la chose désiré en votre possession, il n'y a rien d'autre qu'un sentiment de déception, un déboire, un échec. Pourtant vous y êtes arrivé, vous avez réussit à obtenir ce que vous désirez, mais rien n'y fait, cette idylle que vous vous imaginiez avoir lorsque pareille chose arriverait n’apparaît pas. Comme si que les dieux eux même jouaient avec vos pressentiments. Selon le chef, j'avais prouvé ma valeur, j'avais mérité de devenir un Uetonga... Face à des fermiers et leur fourche...

    Son sourire narquois au coin de ses lèvres hantèrent mes nuits et galvanisèrent mes journées. Chacun au sein de la horde avaient connaissance des idées de l'Ugakta'r, qu'il ne reconnaissait pas ces hommes et femmes qui avaient combattu comme de vrai Uetonga'r. Comment lui donner tort après tout ? N'est ce pas lui même qui avait choisit ce foutu hameaux ? Bien sûr que j'avais toutes les raisons de lui en vouloir. Il s'était joué de moi, et c'est une chose que je ne pardonne pas.

    Mais même avec toute la détermination et la rage de Tamriel, un jeune lionceau ne pouvait défier et terrasser le chef de meute. Alors la vie continuait au sein de la horde. Malgré mon nouveau statut, rien n'avait changé. Je subissais encore les railleries de ceux qui étaient censés être mes frères et sœurs, mon père marquait toujours ma chair de l'emprunte du fouet et ma mère était toujours obligé d'écarter les cuisses.

    De tous mes frères et sœurs que ma mère eut mis au monde, celle dont laquelle je suis proche est Virginia. Probablement parce qu'elle est la plus collante de toute. Une petite rose des sables cherchant sa place dans la horde, elle passait son temps à essayer de faire comme les hommes de la horde, c'est à dire chercher à avoir la plus grosse. Tous les jours je devais soit me plier à ses désirs d'apprendre à manier les armes, soit supporter sa présence parmi les hommes de mon âge. Mais d'un côté et sans lui avouer, je la préférais à mes côtés. Cela m'évitait de devoir m'engager dans une rixe au poing contre le premier guerrier qui souhaitait l'engrosser... Et il y en a eut...

    C'est en combattant ma sœur que nos talents s’affirmèrent. Dans la plus strict religion des rougegardes, le Shehai. Tout Rougegarde aspire à obtenir ce pouvoir tant désiré, matérialiser une lame rien qu'à la force de l'esprit. Mais très peu ont eut cet honneur dans toute notre histoire. Ma sœur fend l'air de ses deux sabres, offrant une danse mortel à quiconque assistait à ce bal. C'était l'opposition des styles, offrant ma force brut et mes armes lourdes comme adversaires à cette jeune pousse que j'arrosais ainsi tous les jours. Là où elle cherchait les failles de ma garde pour les exploiter, moi, je m’efforçais de les créer chez mon adversaire, de le fatiguer puis de l'abattre. Bien souvent cela fonctionnait avec ma jeune sœur, mais il pouvait arriver que celle-ci se jouait de moi et parvenait à arracher un semblant de satisfaction.

    Je me souviens d'un duel en particulier...

    Ma hache fendit la roche. Sur l'instant, ce n'était pas ce que j'imaginais, où était passé cette garce ? Dans mon dos ? Non, je me souviens d'avoir balayer l'air de mon avant bras à la suite de mon coup raté. L'instinct d'un guerrier voit juste généralement, mais avec un adversaire aussi imprévisible que ma jeune sœur, c'était peine perdu. Sa botte venait d'atteindre l'articulation de mon genoux droit, me faisant plier sur le sable. Puis sa paume vint fracasser le dessous de mon menton, m'arrachant alors une plainte avant que je ne tombe sur le dos, les bras en croix. Autant dire qu'à cet instant, je serais mort si ma sœur aurait réellement souhaité voir ma vie s'écourter. Cela arrivait rarement, mais ma sœur avait par instant des moments de génies dans sa façon de combattre là où je n'étais que la force brut du désert qui nous entoure.

    Secouant la tête en balayant le sable sous ma coiffure, je repris petit à petit mes esprits pour observer ce visage illuminé de son petit sourire narquois au dessus de moi.

    « Tu bouges comme un serpent des sables... »  Le tout en me relevant. Je savais qu'a ce moment, elle fut fière de sa performance, pour dire vrai, je l'étais aussi. Fière, mais également sceptique. Ma jeune sœur, une fière combattante qui aurais réussit à vaincre sans nul doute plusieurs fier guerrier n'était encore qu'une Trail'r que beaucoup se moquait.

    "Je n'ai fait que danser..."  Danser ? Oui, cela y ressemblait.

    "Danser? Le serpent aussi danse au son des flûtes, sa morsure n'en reste pas moins mortel"

    "Justement. J'ai tout simplement voulu mêler la danse au combat, la souplesse et les mouvements fluide de la danse, les armes en prolongement des bras... Pour conférer un certain hypnotisme tout en gardant des attaques mortelles. Je ne peux pas tuer quelqu'un par la force de mes coups, je me sers donc de tout mes atouts et subterfuges pour y parvenir."

    "Et comment avec une expertise pareil, n'es-tu pas encore Uetonga?"

    "Tuer un guerrier n'est pas un problème. Mais massacrer des paysans,piller des villages, tout ces viols... Notre mère a vécu ça et je n'ai pas envie d'en faire parti... Et vu qu'on a essayé de me forcer à réduire en lambeaux un vieillard et deux enfants malades... Je mesuis rebellée et fait comprendre le fond de ma pensée."

    « Et quel a été le prit de cet insolence ? » Je me souviens l'avoir observé droit dans ses deux billes bleu à ce moment là. Il ne fait aucun doute que le Ugakta'r l'aurait punit, elle, le sang de mon sang.

    "Rien qui ne m'empêchera de réassoir mon opinion si cette occasion se présente à nouveau."

    Ses paroles résonnaient encore dans ma tête. Ma jeune sœur avait un caractère de merde, tout comme moi. Un trait de caractère venant de notre mère probablement. Le feu de la rébellion brûlait en elle. L’indépendance... Une chose qu'elle ne pourra jamais avoir en Hel Do Alik'r.

    Je l'avais corrigé à la suite de cela.


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