Nom : Névaria
Race : Dunmer
Sexe : Femme
Age/Signe : 1er Plantaisons 2E457 (25 ans), L'Ombre
Physique : Petite pour une Dunmer, 1,55cm, 50 kg.
Yeux et cheveux argentés, ces derniers lui arrivent aux épaules. Une fleur d'obscurcine tatouée sur l'omoplate gauche.
Allégeance : Morag Tong, Pacte de Coeurébène.
Religion : Culte de Méphala, et dans une moindre mesure de Sithis.
Caractère primaire : Misanthrope, cynique et renfermée. Cruelle sous conditions.
Son passé la rendue ainsi, n'attendant plus rien du genre mortel. La seule exception notable étant son mentor.
Sa jument Windbreaker étant l'être qu'elle considère le plus comme son amie.
Deviens cruelle de manière poussée quand elle vois des adeptes de la magie noire, elle se sert de leur propres sortilèges pour les martyriser, souvent lentement et dans la douleur, de même pour tout ce qui touche aux nécromanciens et à ceux qui utilise les âmes et esprits d'autrui.
Aversion pour les créatures daedriques, notamment le galopin, ainsi que des serviteurs de Molag Bal, ce dernier étant un des ennemis de sa Maîtresse. Cela en fait une des raisons pour lesquelles elle aide le Pacte dans sa lutte.
Défauts/qualités : Dispersée, fanatique / Artiste, sens de la mise en scène.
Passions/centres d’intérêts :
Botanique, elle ne peut s'empêcher de cueillir toutes les plantes et réactifs qu'elle trouve, la poussant souvent à devoir descendre de cheval.
Cuisine, elle a appris à concocter des recettes différentes, passant le plus clair de son temps en pleine nature. Lui sert également dans le cadre de son travail, quand celui-ci exige qu'il n'y ai aucune trace de sang (ce qu'elle n'aime pas, mais elle se doit de respecter les termes des contrats).
Alchimie, bien que la plupart de ses décoctions finissent par exploser, cela lui permet de satisfaire sa curiosité et sa recherche de connaissances diverses.
Rassembler des livres et des trophées, bien que cela n'ait aucune utilité, elle aime collectionner les babioles.
Ne peut résister à l'envie d'explorer tout les endroits qu'elle découvre, pensant toujours secrètement à trouver un trésor quelconque.
Jouer du luth.
Profession/artisanat : Assassin (rp), Sorcière(classe). Tanneuse/couturière (sert de couverture en rp).
Compétences : Magie Noire, sorts de foudre, Ambidextrie, Mix armure légère et intermédiaire.
Une (longue) partie romancée pour comprendre le perso et les choix ci-dessus, à lire ou pas, c'est au choix de chacun.
Edit : léger glissement rp, j'ai modifié le mois de naissance pour coller au signe (j'sais pas pk j'avai pas mis le bon de base en plus :/), et par la même occas' à la mention de Secunda dans le texte.
Race : Dunmer
Sexe : Femme
Age/Signe : 1er Plantaisons 2E457 (25 ans), L'Ombre
Physique : Petite pour une Dunmer, 1,55cm, 50 kg.
Yeux et cheveux argentés, ces derniers lui arrivent aux épaules. Une fleur d'obscurcine tatouée sur l'omoplate gauche.
Allégeance : Morag Tong, Pacte de Coeurébène.
Religion : Culte de Méphala, et dans une moindre mesure de Sithis.
Caractère primaire : Misanthrope, cynique et renfermée. Cruelle sous conditions.
Son passé la rendue ainsi, n'attendant plus rien du genre mortel. La seule exception notable étant son mentor.
Sa jument Windbreaker étant l'être qu'elle considère le plus comme son amie.
Deviens cruelle de manière poussée quand elle vois des adeptes de la magie noire, elle se sert de leur propres sortilèges pour les martyriser, souvent lentement et dans la douleur, de même pour tout ce qui touche aux nécromanciens et à ceux qui utilise les âmes et esprits d'autrui.
Aversion pour les créatures daedriques, notamment le galopin, ainsi que des serviteurs de Molag Bal, ce dernier étant un des ennemis de sa Maîtresse. Cela en fait une des raisons pour lesquelles elle aide le Pacte dans sa lutte.
Défauts/qualités : Dispersée, fanatique / Artiste, sens de la mise en scène.
Passions/centres d’intérêts :
Botanique, elle ne peut s'empêcher de cueillir toutes les plantes et réactifs qu'elle trouve, la poussant souvent à devoir descendre de cheval.
Cuisine, elle a appris à concocter des recettes différentes, passant le plus clair de son temps en pleine nature. Lui sert également dans le cadre de son travail, quand celui-ci exige qu'il n'y ai aucune trace de sang (ce qu'elle n'aime pas, mais elle se doit de respecter les termes des contrats).
Alchimie, bien que la plupart de ses décoctions finissent par exploser, cela lui permet de satisfaire sa curiosité et sa recherche de connaissances diverses.
Rassembler des livres et des trophées, bien que cela n'ait aucune utilité, elle aime collectionner les babioles.
Ne peut résister à l'envie d'explorer tout les endroits qu'elle découvre, pensant toujours secrètement à trouver un trésor quelconque.
Jouer du luth.
Profession/artisanat : Assassin (rp), Sorcière(classe). Tanneuse/couturière (sert de couverture en rp).
Compétences : Magie Noire, sorts de foudre, Ambidextrie, Mix armure légère et intermédiaire.
Une (longue) partie romancée pour comprendre le perso et les choix ci-dessus, à lire ou pas, c'est au choix de chacun.
Edit : léger glissement rp, j'ai modifié le mois de naissance pour coller au signe (j'sais pas pk j'avai pas mis le bon de base en plus :/), et par la même occas' à la mention de Secunda dans le texte.
- Spoiler:
Tout commença le premier jour de Plantaisons de l'année 2E457, dans une maisonnette champignon d'un couple de mages Telvanni, proche de Sadrith Mora.
C'est durant cette nuit, éclairée par une Secunda resplendissante, emplissant l'atmosphère d'une lumière argentée surnaturelle et faisant resplendir l'Ombre dans le ciel, que naquis Névaria.
Sa mère mourut lors de l'accouchement, et son père, autrefois chercheur sur les mécanismes Dwemers pour le compte d'un mage Telvanni, abandonna l'étude de ses complexes machineries au profit des engrenages de l'alcool, le décès de sa femme l'ayant plongé dans le désespoir.
Les 6 années qui suivirent, Névaria fut confiée à l'esclave argonienne de la maison, qui tenta de l'élever au mieux selon les traditions Telvanni, tandis que son père s'enfonçait de plus en plus dans son baril de Mazte.
La veille de sa septième année, il l'envoya chez le mage Suryn Telvanni qui lui avait confié la tâche de l'étude des Dwemers, ce dernier ayant soi-disant décidé de former un apprenti pour poursuivre ses recherches, l'âge commençant à le rattraper.
C'est du moins ce que pensa Névaria durant les années qui suivirent.
Suryn lui enseigna la magie noire, bien qu'il ne lui la présenta pas de cette manière, cette forme de magie étant interdite par le Conseil Telvanni.
Mais il voulait voir les résultats de cette magie, il en avait besoin, dans son désir d'immortaliser sa propre âme, ne pouvant plus compter sur le père de sa nouvelle apprentie pour trouver comment les Dwemers avaient pu donner vie à de simples machines, qui perdurait aujourd'hui.
L'immortalité, de son corps ou son âme, était devenu pour Saryn une obsession dévorante.
Le mage avait appris dans un obscur livre que la magie noire, si elle était pratiquée jeune, s’imprégnait plus profondément dans la personne l'utilisant, lui permettant d'utiliser au mieux les pouvoir acquis et d'augmenter considérablement la vitesse d'apprentissage.
Il y avait, bien sur, un prix à payer, seulement le mage n'en aurait aucun aperçu. Pour le moment.
Il lui enseigna donc les préceptes interdits de cette magie, notamment comment s'en servir pour créer de la matière cristalline, et à force d'expérimentation pendant 5 ans, Névaria fut à même de pouvoir utiliser et modeler cette matière en diverses formes.
Un jour Saryn décida que la jeune dunmer ne lui serait plus utile et qu'elle était maintenant trop âgée, il lui fit alors construire un cristal noir à l'aide de sa propre énergie vitale, pour qu'ainsi ses connaissances soit transmise à ce cristal dans le processus.
La substance finie par devenir instable et explosa, des éclats allant s'enfoncer ça et la dans les murs du laboratoire.
Mais le mage avait la matière qu'il rechercherait, chacun de ses fragments luisant faiblement, preuve qu'une part de l'âme de Névaria avait bien été emprisonnée à l'intérieur de chacun des cristaux, et la connaissance des arts noirs avec.
Il ne lui resterait plus qu'à extraire le savoir des gemmes et à le réinjecter dans son propre corps. Il venait de gagner 10 ans d'études laborieuse et douloureuse, sans aucun effort.
Il regarda la jeune fille, couchée sur le sol, du sang sortant de ses yeux et de ses oreilles suite au choc, et lui lança, d'un air hautain et moqueur :
« Tu aura su te montrer plus utile que ton idiot de père, tu es la meilleure affaire que j'ai conclu. Quand il est venu me trouver pour te vendre 3 septims, j'ai vraiment été gagnant au change.
- Mon père ne m'aurait pas vendue ! s'exclama Névaria.
- Bien sur qu'il t'as vendu, toi, celle qui lui a prise la femme qu'il aimait, il aurait donné n'importe quoi pour aller plonger au fond d'une chope au Braillard Chancelant ! Tu ne croyais pas que j'aurai pris un déchet comme toi comme apprentie si j’avais pu faire autrement, répliqua le mage moqueur.
Tu es finalement aussi pitoyable que ton père. »
Névaria commença à pleurer avant que le vieux Telvanni ne reprenne :
« Je te garderai néanmoins ici, j'ai développé quelques nouveaux sortilèges ses dernières années pendant que tu accumulait le pouvoir pour moi, je suis sur que tu fera un bon cobaye pour tester leur efficacité. »
Il convoqua 2 galopins qui saisirent la dunmer en pleurs avec brutalité pour l'emmener dans l'aile ouest de la tour, là où se trouvait la salle de torture. Elle ne verrait plus que cette salle durant quatre ans.
La cruauté du mage Telvanni ne connaissait aucune limite. Il avait crée un sceau de guérison à l'aide de runes daedrique, où il enfermait Névaria pour la torturer indéfiniment, les blessures y guérissant, contrairement à la douleur, quelle soit physique ou psychologique.
Elle qui autrefois avait les cheveux et les yeux rouge sombre les avait maintenant d'un blanc pur, conséquence de la torture par magie, toute les sensations qu'elle avait pu éprouver par le passé étant remplacées par une haine profonde.
Le jour de ses seize ans, Seryn avait prévu quelque chose de spécial. Après tout, selon ses propres mots « un anniversaire se doit d'être fêté, avec force cri. Seulement les tiens seront des hurlements de douleurs, et non de joie »
Il avait concocté pour l'occasion une variation de son sort habituel, la foudre ne faisant plus quelques brûlures, par-ci, par-la, mais s'accrochant au corps de la jeune femme, la plaquant au mur, et la parcourant sans discontinuer.
L'ombre se dirigeait vers une tour. Selon les indications qu'elle avait eu, c'était dans cet endroit qu'elle était attendue, pour son travail.
Y entrer ne fut guère difficile, aucunes sentinelles ni aucuns gardes, le propriétaire des lieux faisait preuve de relâchement.
« Sans doute se sent-il en sécurité aux abords de la ville » pensa l'ombre.
Elle continua à déambuler dans la tour, cherchant l'homme qui lui accorderait paiement. Un crépitement semblable à une étincelle. Le bruit, bien que léger, semblait venir de l'ouest.
« Il doit se trouver la bas.»
Elle monta les marches organiques des tours Telvanni sans aucun bruit, comme le vent sur un lac et n’eut aucun mal à trouver la salle où était l'homme pour qui elle venait.
Au fond de la pièce, semblait se trouver une jeune dunmer, lié à cet homme par un arc électrique éclairant la pièce. Cela semblait être un plaisir pour le mage de voir cette jeune fille se tordre de douleur sans qu'elle fut capable d’émettre un seul cri.
Le temps d'un soupir suffis pour plonger l'endroit dans le noir. L'ombre avait tranché la main droite du mage à l'aide de sa dague, et la jeune fille auparavant retenue au mur par les chaînes d'éclairs tomba sur le sol.
Névaria eu du mal à croire que sa prière fut entendu, peut-être le mage avait-il décidé d'en finir avec elle.
Et pourtant, il lui semblait entendre qu'il criait de douleur. Elle peina à relever la tête mais pu voir, à la faible clarté lunaire passant par le plafond, qu'il tenait le moignon ensanglanté de sa main droite à l'aide de la gauche.
Soudain, un poignard vint se planter devant ses yeux, au centre de la salle, dans le disque de lumière.
Seryn, lui aussi, avait vu la dague se ficher dans le sol entre eux deux, et il se précipita dessus, ne pouvant plus user de magie avec une seule main, en espérant pouvoir saisir l'arme et faire face à son assaillant.
Il s'arrêta net. Il senti une chaleur étrange se répandre au niveau de son abdomen. Sans qu'il puisse se l'expliquer immédiatement, il tomba à genoux.
Il passa sa main restante sous les plis de sa robe et constatât avec dégoût que son habit était plein de sang. Son sang.
Puis un autre coup arriva au niveau de sa gorge, puis un autre dans sa poitrine, et un autre, et encore un autre, chacun se faisant de plus en plus assuré.
Il tomba au sol sous les assauts, et sentit la lame aller et venir dans son corps, faisant jaillir toujours plus de sang.
La chaleur qu'il avait ressentit peu avant s'était changé en froid.
Névaria se tenait, un poignard ensanglanté à la main, au dessus de son bourreau. Elle ignorait comment elle pouvait se tenir debout, ni comment elle s'était retrouvé avec une dague à la main.
Avait-elle agit par instinct ? Par vengeance ? Elle ne pouvait pas encore décrire ce qu'elle ressentait, c'était différent de la douleur de ses dernières années qui avait effacées tout le reste, et elle ne se rappelait plus de la sensation qu'elle éprouvait maintenant.
Elle savait juste qu'elle souriait.
Le tremblement de sa main, lors du premier impact de la dague, avait cessé petit à petit au fur et à mesure qu'elle s'était acharné sur Seryn. Maintenant, ses doigts était fermement agrippés au poignard, comme si elle ne voulait plus le lâcher.
L'ombre s’avança dans la lumière et pris la parole :
« Il semblerait que tu ai volé la cible de mon contrat, gamine. Mais je fermerais les yeux, pour cette fois. »
Elle lui tendit une fleur d'obscursine : « cela est ma signature, je la laisse sur les cadavres qui parsèment ma route, mais elle ne m'est plus utile ce soir dirait-on. Cette partie du contrat est maintenant achevée. Prend garde à ne pas te piquer sur les épines. »
L'ombre tourna les talons, prête à partir, quand Névaria l'interpella :
« Laissez-moi venir avec vous, je ferai ce que vous voulez, même apprendre à me battre si il le faut, mais ne me laissez pas ici ! »
« Apprendre à te battre ? » L'ombre fut prise d'un rire, féminin, chaud et grave, derrière sa coule et, en pointant un doigt sur le cadavre ensanglanté du Telvanni, dit : « tu sais déjà te battre non ?
A toi, maintenant, de tisser les fils de ton destin sur la toile de l'avenir»
L'ombre quitta la tour et se dirigea vers le port de Sadrith Mora où un bateau l'attendait déjà, puis se ravisa au moment de passer le ponton.
Sans qu'elle ne s'explique pourquoi, elle avait sentie une aura autour de cette jeune fille qu'elle avait, par un concourt de circonstances, sauvé de la mort, chose ironique pour un membre de la Morag Tong.
« Peut-être devrai-je l'emmener jusqu'à Elle, elle avait ce regard, et cela doit être la partie obscure de ce contrat que je ne comprenais pas... »
Elle se redirigea vers la tour, maintenant convaincue que sa Maîtresse l'avait envoyée ici dans un but précis, pensant y trouver la « gamine » pour qui elle était finalement en cet endroit à ce moment, mais elle était déjà partie. Sa trace était néanmoins facile à suivre, le sang encore frai du mage laissant une marque sur le pavement.
L'ombre haussa un sourcil sous sa capuche en pensant :
« La discrétion sera à revoir, par contre... »
Névaria était arrivé à la devanture du Braillard Chancelant, la taverne mentionnée par Seryn des années auparavant. Elle espérait y retrouver une personne bien précise.
Un homme d'allure misérable était recroquevillé dans ses relents juste à côté de la porte. A cette heure tardive, le tavernier avait du le mettre dehors.
Mais Névaria reconnue son père, sous cette allure pouilleuse. Elle s'approcha de lui, il empestait l'alcool et le moisis, et ronflait comme un kagouti en rut.
Elle lui flanqua un coup de pied dans le ventre pour le réveiller. L'homme ouvrit péniblement les yeux, et vu une jeune femme pieds nus en guenilles de mendiant, couverte de sang.
Même si elle avait changée, n'importe quel père, aussi saoul soit-il, reconnaîtrait sa fille. Il n'eut pas le temps de prononcer son prénom que le poignard qu'elle tenait en main était plongé dans sa gorge, jusqu’à la garde.
Son agonie fut lente et douloureuse, comme l'avait été les années de torture de sa fille. Il s étouffait lentement dans son propre sang, sa vision se troublant sur celle qu'il avait jadis vendue contre un tonneau de Mazte, image magnifique d'une jeune femme dunmer au cheveux et aux yeux d'argent, éblouissante, sous la lueur de Secunda, identique à celle d'il y avait 16 ans, en ce même jour.
Elle plaça la fleur d'obscurcine sur le cadavre encore chaud de cet homme qui n'était plus rien pour elle. « Signer » devait être important avait-elle pensé.
La vengeance de Névaria était maintenant complète, elle avait tué son bourreau, et celui qui l'avait vendue.
L'ombre était arrivée à suivre la piste assez rapidement pour assister à toute la scène.
« Il semble, Maîtresse, que le contrat soit totalement remplis, maintenant. La jeune araignée à commencée à tisser sa toile. Je la conduirai jusqu'à Vous, puisque c'est ce que vous attendez de moi, de toute évidence. » Et elle ricana légèrement sous son masque.